► Un salaire minimum au SMIC : un·e accueillant·e familial·e ne doit pas dépendre des ressources de son conjoint pour pouvoir exercer son métier.
► La création du cadre d’emploi des assistants familiaux en catégorie B filière médico-sociale.
►Le maintien de la rémunération chaque fois qu’un·e assistant·e familial·e est confronté·e au départ d’un ou plusieurs enfants. Il n’est pas acceptable que cela entraine la perte de la totalité de son salaire lors du départ du 3ème ou du 2ème enfant et même du 2ème et 3ème à la fois.
► Une indemnité d’ancienneté, voire une majoration de la rémunération, pour la reconnaissance de l’expérience professionnelle : une grille pourrait être élaborée en fonction de l’ancienneté (sur le modèle de celle de leurs collègues fonctionnaires).
► Une majoration de la rémunération, pour la reconnaissance du diplôme d’État d’assistant familial (sur une grille CAP/ BEP que la CGT revendique pour tou·tes les agent·es de la fonction publique).
► Une indexation des allocations d’entretien sur « l’indice [INSEE] des prix à la consommation ».
►Le maintien de salaire au retour d’un arrêt pour raison de santé en attendant de disposer d’un nombre d’accueil égal à celui détenu avant l’arrêt.
► Un traitement des différends, des conflits équitable [écoute des deux parties par l’autorité territoriale ou sa/son représentant·e, droit a la défense];
► Une intégration dans les équipes pluridisciplinaires, à parité avec les autres professionnel.le.s de la protection de l’enfance;
► Une reconnaissance de la pénibilité de la profession;
►Une reconnaissance des risques professionnels en matière de santé au travail;
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